Le France Est Trail, c’est, les 1 200 premiers kilomètres, de la campagne. Ce qui signifie que je passais régulièrement dans de petits villages qui hébergeaient un café, une boulangerie et/ou une petite épicerie. Ces lieux permettent respectivement de se sustenter si besoin.



Le covid a fait un peu de dégâts dans les commerces de proximité et c’est à déplorer. Evidemment, pour moi, car je peinais, par moment, à trouver de la nourriture. Mais surtout pour les habitants isolés de ces campagnes dont le bistrot ou la boulangerie étaient des lieux sociaux avant tout. Ces commerces sont des endroits où les gens se retrouvent, font attention les uns aux autres et se soutiennent. Ce n’est absolument pas négligeable et c’est très triste que l’on accepte, sans rien dire, qu’ils ferment pour laisser place à de grands supermarchés froids et sans âme.




Ensuite, j’ai attaqué les Vosges et le Club vosgien fait passer le tracé à travers de jolis petits villages où il y a de quoi se nourrir. Puis les Crêtes vosgiennes mettent à disposition tout un tas de fermes-auberges où il fait bon manger un plat cuisiné avec amour (et beaucoup de fromage).
Dans le Jura, il faut surtout compter sur sa capacité à porter de l’eau et de la nourriture, car les villages sont assez loin les uns des autres. Mais rien d’infaisable avec une certaine habitude d’autonomie ça se passe très bien.




Quant aux Alpes, il y a de nombreux refuges et quelques villages en vallée, donc vous pouvez compter dessus pour manger une bonne part de tarte à la myrtille ou un merveilleux chocolat chaud, et même trouver du fromage dans les fermes d’alpages.


Voilà, vous savez tout. Enfin, si vous avez des questions, n’hésitez pas.
Coucou Jeanne que c est bon de te suivre dans tes aventures ! Continue ainsi. C est beau !
Charline (ou on s est connu au Crossfit chtx)😎😎💚❤️💙
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Merci beaucoup 😊
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