La question de l’eau est récurrente lorsque l’on part en vadrouille.
Lorsque l’on se retrouve à randonner dans les campagnes françaises, rien de plus aisé que de trouver de l’eau. En frappant chez l’habitant, en trouvant une mairie ouverte ou tout simplement en cherchant un cimetière. Ces endroits sont les références des points d’eau potable, réguliers et facilement identifiables.

Pour ce qui est des montagnes, que ce soit dans les Vosges, le Jura ou les Alpes, il y a de nombreuses sources, torrents et/ou ruisseaux. Je ne vous conseillerai jamais assez de partir avec un mini filtre afin d’assurer vos arrières. Personne n’est jamais à l’abris d’un élevage un peu plus haut dans la montagne qui vient polluer le cours d’eau. Et les conséquences sur nos petits organismes de citadins sont pas très très sympa.



Et puis, il y a tout de même tous les refuges où vous pouvez demander de l’eau, sans oublier les habitations. Donc bien que cela soit assez stressant au début, l’eau est plutôt facilement identifiable et trouvable sur le chemin.
Mais rien ne vous empêche, si vraiment vous avez peur, de porter 2 L d’eau dans votre sac. Vous constaterez rapidement qu’un seul litre suffit, mais surtout que c’est très lourd et encombrant pour palier à des peurs que d’autres nous ont insufflées.

Cependant, à noter que sur les crêtes jurassiennes, il y a très peu de point d’eau potable. Il est donc fortement conseillé de porter plusieurs litres d’eau (5 pour ma part) pour pouvoir être en autonomie sur 2 jours. Sinon, rien ne vous empêche de redescendre en vallée pour vous ravitailler.
Vous savez tout. Mais si vous avez des questions, n’hésitez pas !